Les hôpitaux de Gaza ont fait état de 68 morts suite au bombardement du camp de réfugiés d’al-Maghazi dans le centre de la bande de Gaza dimanche. Le chef de l’Organisation mondial
L’essentiel à retenir :
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68 personnes ont été tuées dans une frappe israélienne ce dimanche. Le bombardement a eu lieu dans le camp de réfugiés d’al-Maghazi dans le centre de la bande de Gaza. Interrogée, l’armée israélienne a indiqué qu’elle « vérifie » l’information.
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Pas de sapin gigantesque, pas de crèche flamboyante, peu de joie. Un voile de tristesse a enveloppé Bethléem dimanche, ville qui se pare habituellement de ses habits de fête à l’occasion de Noël, terni cette année par la guerre dans la bande de Gaza.
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« Notre coeur, ce soir, est à Bethléem, où le prince de la paix est encore rejeté par la logique perdante de la guerre, avec le fracas des armes qui, aujourd’hui encore, l’empêche de trouver une place dans le monde », a déclaré le Pape François lors de la messe de Noël depuis la basilique Saint-Pierre, au Vatican.
L’essentiel de la veille
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Le chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a réitéré son appel urgent à un cessez-le-feu. Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que « la décimation du système de santé de Gaza est une tragédie ».
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Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé que son pays payait « un très lourd tribut à la guerre », après la mort de 15 soldats depuis vendredi.
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Selon un nouveau bilan communiqué par le Hamas, les opérations militaires israéliennes dans l’enclave palestinienne ont fait 20 424 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre.
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Un navire chimiquier japonais a été touché au large de l’Inde par un « drone d’attaque tiré depuis l’Iran« , a affirmé l’armée américaine.
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Deux pétroliers et un destroyer américain naviguant en mer Rouge ont également été visés par des drones lancés par les rebelles Houthis au Yémen qui ont promis de prendre pour cible tous les navires affiliés à l’État hébreu.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l’enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère gazaoui de la Santé n’indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de « l’agression israélienne » et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l’Office humanitaire des Nations unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l’ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.