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Il plane dans l’atmosphère politique une interrogation délicate : Anta Babacar Ngom Diack usera-t-elle de renseignements provenant de la gendarmerie en passant par son mari, Issa Diack, pour alimenter sa campagne de parrainage ? Cette question, bien que sans accusation formelle, plane comme une ombre sur la pré-campagne de la candidate.
Cette situation soulève des interrogations légitimes sur l’éthique et la transparence dans la course politique de Mme Ngom Diack. Les liens entre la sphère politique et les forces de l’ordre doivent être gérés avec précaution pour garantir l’intégrité du processus électoral.
Il est important de noter que cette chronique ne formule pas d’accusation directe mais soulève une question pertinente qui mérite attention dans le contexte actuel. Les électeurs seront sans aucun doute attentifs à la manière dont cette question sera abordée par la candidate et son entourage au cours de la pré-campagne.
D’après des informations, le système de sécurité derrière sa femme est briefé par Issa Diack, qui était malade mais qui a repris forme.
C’est simplement une question ? Le Général Moussa Fall et la direction du renseignement doivent veiller à cela.